test test test
Selon les écrits d’Albert le Grand pour se promener tranquillement dans un endroit « à serpents », il faut se munir de feuilles de fraisier, « car aussitôt qu’un serpent sent ces feuilles, il prend la fuite.
Cela est si vrai que si l’on fait comme un cercle avec ces feuilles, et qu’ensuite on mette au milieu un serpent vif, il y demeurera sans se remuer, de même que s’il était mort : que si l’on fait du feu proche de ce cercle, et que l’on fasse une ouverture du même côté où sera ce feu allumé, ce serpent aimera mieux se jeter dans le feu que de rester au milieu de ces feuilles »
La tradition veut qu’une jeune fille qui
aime beaucoup manger des fraises
hérite d’un mari volage.
La fraise est vite devenue symbole de
plaisir d’amour. Au XVIIIe siècle, on nommait
« fraise » les tétons des femmes, ce
qui entraîna la locution » aller aux fraises »
comme synonyme de flirter.
En Pologne, le fraisier sauvage est un
porte-bonheur très prisé. « Il pousse,
dit-on, sur les pas d’un valeureux guerrier
ou d’une sainte femme »
En Norvège, il est conseillé aux
femmes enceintes de porter sur elles des
feuilles de fraisiers. Elles protègeront son
bébé et la soulageront des douleurs de
l’accouchement.

